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Au Président des français

" Dubito ergo cogito , cogito ergo sum " je doute donc je pense , je pense donc je suis : Descartes

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Le talon dÂ’Achille des démocraties

La Démocratie nÂ’est pas la meilleur forme de gouvernement dÂ’un pays, loin de là, mais de lÂ’avis des spécialistes cÂ’est la moins pire.

 

Deux dangers gravissimes la guettent.

 

1) Le peuple ne dispose pas toujours des meilleurs éléments de jugement et peut-être manipulé par des médias mal intentionnés. On lÂ’a bien vu pour la guerre en Irak. Tous les peuples de tous les pays à une ou deux exceptions près dont évidement Israël étaient contre cette Guerre. Les médias Américains et Britanniques pour ne citer quÂ’eux firent une propagande monstre en faveur de cette guerre et le peuple Américain bascula pour la guerre. AujourdÂ’hui ils peuvent sÂ’en mordre les doigts. En Angleterre les médias ne parvinrent pas à retourner la majorité. Peu importe Tony blair fit la guerre avec les Américains et les Anglais, démocratie ou pas nÂ’eurent quÂ’a se taire. Pauvre démocratie si facilement violée par ses pseudos défenseurs !


2) La Démocratie laisse tout faire sous prétexte quÂ’elle nÂ’est pas une dictature.
Là nous atteignons à lÂ’apothéose de la naïveté, même et surtout de la part de gens très intelligents. La Démocratie en réalité cÂ’est le gouvernement par les représentants du peuple, pour soi-disant le peuple. Mais le peuple nÂ’est pas près à tout accepter. Il y a dÂ’ailleurs des lois qui condamnent les assassins les voleurs et les criminels. Il devrait en être de même pour toutes les idéologies lorsquÂ’elles menacent la Démocratie. Ce nÂ’est pas de la dictature que de se protéger et de protéger ceux qui vous ont élu. Mais évidement nous entrons dans un domaine très délicat, des gens mal intentionnés sous prétexte de protection pourraient porter atteinte aux libertés de façon abusive. Ne dramatisons pas, le peuple par les élections à toujours le dernier mot. Mais ce dernier mot il ne lÂ’aura que si la Démocratie sait se défendre.

 

 


Nous nÂ’avons malheureusement pas de solution minute clé en main comme en rêvent les journalistes politique pour traiter ces deux problèmes. NÂ’ayons pas peur du mot « problème » ! il y a des entreprises ou ce mot est tabou ! Ont-elles pour autant de meilleures solutions ? Pas sûr. Leurs directions pratiquent la politique de lÂ’autruche. Mais ne nous égarons pas. Pour les Médias Noam Chomsky a déjà expliqué beaucoup de choses. Les propriétaires, les annonceurs, les personnalités influentes faussent la donne au point quÂ’on peut se demander si ce nÂ’était pas mieux pour le « consommateur » dÂ’informations quand lÂ’état supervisait tout ça ! Mais non amis journalistes nÂ’avalez pas votre dentier, cÂ’était pour rireÂ…

 

Pour ce qui est de défendre la Démocratie, et bien il lui faut des lois dÂ’exception pour les situations dÂ’exception. Les citoyens grecs élisaient bien des tyrans ou des dictateurs, et à la fin de lÂ’année sÂ’ils étaient satisfaits ils le réélisaient sinon ils le viraient.

 

 

Et pour finir une supplique: Vous laissez une dette formidable à nos enfants, ne condamnez pas à mort nos filles et nos fils de façon horrible de surcroît.

 

Les démocraties ont tellement la trouille dÂ’attenter aux droits de lÂ’homme que par lâcheté leurs députés en  ne votant pas des lois empêchant de remettre en liberté des individus dangereux condamnent à mort par avance des innocents. Dire que Jacques Chirac a fait mettre dans la constitution lÂ’abolition de la peine de mort. Il a juste oublié les victimes, mais cÂ’est bien connu, les victimes aujourdÂ’hui tout le monde sÂ’en fou. La mise en établissement hospitalier spécialisé des individus dangereux à leur sortie de prison fait déjà crier à la double peine par des inconscients inhumains. Et bien incluons cette disposition dans la condamnation dÂ’origine et il nÂ’y aura plus double peine. 

Septembre 2007    

 

A lÂ’origine les citoyens étaient les habitants dÂ’origine dÂ’une cité (le droit du sang : les étrangers à la ville, les esclaves, les prisonniers de guerre nÂ’étaient pas des citoyens).

 

Les cités grecques étaient très avancées sur le plan politique et les citoyens se réunissaient et discutaient pour élire leurs chefs parmi ceux qui se présentaient et dont les arguments les convainquaient de leur efficacité, pour une durée déterminée.


AujourdÂ’hui on associe citoyen aux habitants dÂ’un pays démocratique et qui donc ont le droit de vote. (Le mot républicain pourtant plus fort est passé de mode)

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