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Au Président des français

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LÂ’Algérie française de 1830 à 1962

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Pour accéder au diaporama cliquer sur la photo


Ce diaporama qui circule par mail est très instructif de l'immense travail fait par la France pour créer er moderniser l'Algérie. Et l'Algérie d'aujourd'hui nous demande des excuses! SÂ’excuser dÂ’avoir débarqué à Sidi Ferruch en 1830 pour chasser le colonisateur ottoman qui pratiquait la piraterie en méditerranées capturant de nombreux européens pour en faire des esclaves vendus sur le marché aux esclaves d'Alger?

 

En 1830 la France a chassé le Dey d'Alger et libéré les tribus berbères et arabes

 




Ferhat Abbas Président provisoire de la république Algérienne GPRA :
« La France nÂ’a pas colonisé lÂ’Algérie, elle lÂ’a fondéÂ… »

CÂ’est le 14 Octobre 1839 et, par décision du Ministre de la Guerre, que le nom «Algérie» fut attribuée à cette partie de lÂ’Afrique du Nord


 Le nombre de Pieds Noirs vivant en Algérie en 1962 est de 1 042 409 prés de 96 % d'entre eux sont des ouvriers de lÂ’industrie, du bâtiment, des employés de bureau, des commerçants, des fonctionnaires etc. la plupart du temps, moins payés que les salariés en France. Ouvriers ils étaient en Algérie, ouvriers ils seront en France.


 La mise en valeur intensive de la terre algérienne, est unanimement considérée comme une prouesse. Elle a été accomplie longtemps par les seuls Européens auxquels elle a coûté une somme immense de labeur, de souffrances et de vies humaines. les Européens avaient arrachées au maquis ou aux marécages des terres qu'ils avaient rendues fertiles et quÂ’ils avaient, dans les steppes , élargi leur domaine sur des étendues jusque là à demi stériles.


En un siècle, à force de bras, les colons ont, d'un marécage infernal, mitonné un paradis lumineux. Seul, l'amour pouvait oser pareil défi... Quarante ans est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous, qui sommes ses enfants." Boualem Sansal



Médecine



Avant lÂ’arrivée des français la médecine avait à peu prés disparu en Berbérie sous la colonisation arabe puis ottomane. La population était murée dans ses coutumes et acceptant la fatalité de la maladie et de la mort (Inch'Allah!).

  

Les maladies étaient multiples et souvent graves. La peste et le choléra nÂ’étaient quÂ’importés, en particulier par les pèlerins de la Mecque, la peste avait de 1816 à 1822 fait périr plus de 20 000 personnes à Alger. La variole y était endémique, tuant une fois sur deux et laissant de nombreux aveugles. En  hiver sévissait le typhus. La syphilis atteignait 60 à 80% de la population, bien des visages en portaient les stigmates. Les fièvres palustres étaient un fléau généralisé. Le trachome ajoutait beaucoup de cécités à celles de la variole : 25 aveugles sur 1 000 habitants, 1 sur 100 dans le Sud, au lieu de 8 sur 1 000 en France.


Quinze ans après l'arrivée française les 418 médecins militaires disposaient de 38 hôpitaux, 3 centres de convalescence, pas moins de 4 000 lits dans la province dÂ’Alger, 1500 à Oran, 960 à Constantine.


Au départ des français lÂ’équipement sanitaire pouvait être envié par plus dÂ’un pays européen.


Citations:


« S'il est, en Algérie, un domaine où l'effort de la France ne se discute pas, c'est bien celui de l'enseignement. On doit dire que l'école a été un succès certain. Les vieux maîtres, les premiers instituteurs, ont apporté toute leur foi pédagogique, sans arrière-pensée, et leur influence a été extrêmement  heureuse. »
Abderrahmane FARES.


"La scolarisation française en Algérie  a fait faire aux Arabes un bond de mille ans »<
Belkacem Ibazizen.

Ecole en Algérie française , ou  juifs musulmans et  chrétiens se retrouvaient ensemble pour étudier.

Une école pour tous, où les trois communautés se retrouvaient : juifs, musulmans et chrétiens pour un même objectif, étudier !


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