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Au Président des français

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Appel au renouveau de l'Education Nationale

 

Préambule

L'école de la république dont la France du début du XXe siècle pouvait être si fière est partie à la dérive.  

Depuis environ quarante ans la situation n'a fait que se dégrader malgré les efforts répétés des différents ministres de l'éducation nationale.

 

Avec l'explosion de colère des étudiants de mai 1968 qui ne supportaient plus les dortoirs séparés, car c'est bien de là, de l'accès aux chambres des filles, que parti la revendication(1), même si après les jeunes qui se croyaient révolutionnaires lui donnèrent une signification plus large, qu'ils supposaient aussi plus digne(2), les idées nouvelles se mirent à pleuvoir. L'école de grand papa était périmée, inadaptée aux temps moderne, féodale, il fallait la réformer en profondeur et la libérer. Il est interdit d'interdire fut le mot d'ordre.

 

Que de belles idées, mais hélas que de mauvais résultats ! Si aujourd'hui les nouvelles générations voulaient bien reprendre le flambeau et se poser les bonnes questions pour redresser le tir ce serait génial. Car il faut bien le reconnaitre, le renouveau fut un échec total, non, pas total, ne tombons pas nous aussi dans la démagogie des mots, l'échec n'est ni total ni uniquement du à l'esprit de 1968 qui comporte d'ailleurs quelques grandes avancées sociétales, mais en matière d'éducation et d'enseignement ce fut souvent une source de difficultés et  d'échecs multiples. L'obstination à continuer dans les mêmes erreurs par aveuglement et il faut bien le dire par idéologie nous a conduits aujourd'hui là où nous en somme, au bord du gouffre.


Alors ferons nous comme certains nous y invitent en augmentant encore et encore les effectifs un nouveau grand pas en avant ?

 

Bien sûr que non, je reprends ici une vieille caricature de discours politiques de l'époque où le char de l'état naviguait sur un volcan, ou encore quand notre politique consistait à tourner le dos à la fuite en avant !

 

IL faudrait une étincelle, un sursaut, un éblouissement, un instant de bon sens pour remettre la machine sur ses rails qu'elle n'aurait jamais du quitter, mais aussi, comme sur le plan technologique où nous sommes passés de la machine à vapeur au TGV profitons de cette réorganisation pour mettre en œuvre la machine de demain.

 

Nous vous proposons une analyse succincte de cet immense problème, de ses tenants et aboutissants, des objectifs actuels qu'on doit lui fixer et qui ne sont plus tous les mêmes qu'il y a un siècle.

 

Le monde a beaucoup changé et par malchance (?) l'éducation nationale a abandonné les principes qui auraient dus être conservés comme le sens de la discipline et le respect  des professeurs, adaptés certes, mais conservés.

L'éducation nationale n'utilise pas  suffisament le moyen moderne le plus simple à mettre en oeuvre, la télé : le reportage vidéo, des petites séquences style  "C'est pas sorcier"  ou simplement un passage du cours préparé avec soin et filmé sur le sujet étudié.

 

Après un bref état des lieux nous explorerons quelques pistes dignes d'attention avec l'espoir que des personnes compétentes dont des spécialistes de l'éducation nationale mais pas seulement, s'empareront du falot que nous aurons allumé pour en faire une flamme olympique du savoir.

 

L'UNI nous fait remarquer que comme Clémenceau qui disait que la guerre est une chose trop importante pour être confiée aux militaires, l'éducation National est elle aussi une chose extrêmement important qui ne peut-être confiée aux seuls spécialistes de l'éducation national mais à l'ensemble des citoyens.

 

RPJJ                   

 

Colère des étudiants de mai 1968

Sur-effectifs à l'éducation nationale ?

 

discipline et le respect des professeurs

 

Utiliser la télé : reportage vidéo, style "C'est pas sorcier" ou simplement un passage du cours préparé avec soin et filmé sur le sujet étudié

 

 

 

 

 

 

Notes

1) Mai 1968 débuta par des protestations des étudiants gauchistes de la fac de Nanterre qui voulaient pouvoir accéder aux chambres des filles le soir. Sur le refus du recteur d'accéder à leur demande et aux chambres les esprits s'échauffèrent et ils décidèrent d'occuper leur Fac. C'est alors qu'un petit futé fit remarquer que Nanterre tout le monde s'en foutait et qu'il fallait aller occuper la Sorbonne au cœur de Paris, que cela aurait bien plus d'allure. Sitôt dit sitôt fait.

 

A la Sorbonne ils se heurtèrent à une bande d'étudiants d'extrême droite qui n'apprécièrent pas l'arrivée de ces gauchistes qui voulaient occuper leur fac à eux. Une bataille rangée s'engagea d'une grande violence qui conduisit le recteur de la Sorbonne à appeler la police.

 

La police sépara les combattants puis bêtement voulu relever l'identité des belligérants, alors les étudiants qui juste avant s'étripaient se regroupèrent face au danger d'être fichés et attaquèrent les forces de l'ordre avec tant de vigueur qu'ils les chassèrent de la Fac.

 

La suite vous la connaissez, elle s'est beaucoup dégonflé avec le temps mais a profondément abîmé l'éducation nationale.

 

 

 

2) Des idées révolutionnaires en référence au communisme qu'il soit stalinien, Trotskiste ou Maoïste pouvaient-elles être vraiment dignes ?

 

 

A suivre...

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