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Au Président des français

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Les régions socialistes

Et si les socialistes au lieu de critiquer le gouvernement de façon stérile sans rien proposer d'efficace s'occupaient de gérer un peu mieux les régions qu'ils dirigent depuis 2004 ?

En 2004, vingt des vingt-deux régions métropolitaines sont gérées par des présidents socialistes. En 2005 un premier bilan critique d'une année de gestion socialiste fut établi par l'UMP dans un premier livre noir, sans concession comme il se doit, en toute réciprocité.  Ce bilan était simple et préoccupant : Multiplication des dépenses de fonctionnement, de communication et saupoudrage de subventions aux associations.

En 2007, dans le deuxième livre noir, l'UMP a constaté au-delà des dérives budgétaires et de la mauvaise gestion, qu'un véritable programme d'instrumentalisation des exécutifs régionaux s'était mis en place.

Aujourd'hui, avec la 3 ème édition, après cinq années de gestion socialiste dans les régions, il ne s'agit plus de dresser un simple bilan critique des politiques et des actions nouvelles, mais de constater les effets catastrophiques de la gestion socialiste dans les régions. Le résultat n'est plus seulement consternant comme dans les deux précédents livres noirs, il est accablant.  
(Extrait de l' avant-propos par Roger Karoutchi. )

Entre 2004 et 2007, la pression fiscale moyenne des régions a augmenté de 35% sur l'ensemble du territoire.
Le mode de gestion des socialistes privilégie l'impôt.
 
L'état doit clarifier les compétences et prérogatives de la région.

Une gestion socialiste catastrophique.
Les hausses massives d'impôt n'ont pas servi l'investissement qui a reculé mais les dépenses de fonctionnement (communication, représentation, déplacements... ).

En Île-de-France les dépenses de fonctionnement qui représentaient moins de 68 euros par habitant en 1998 sont passées à 215 euros en 2008 soit une hausse de 58%.

Brice Hortefeux, Conseiller Régional d'Auvergne depuis 1992, souligne : l'Auvergne n'est pas épargnée par les hausses d'impôts (+67,5%) pour les dépenses de fonctionnement et les hausses d'effectifs dans les exécutifs régionaux alors que le budget de la formation professionnelle a baissé de 15% depuis 2004.

« Le livre noir des régions socialistes » a, pour la 3ème année consécutive, été édité en 2008. Il s'attache à faire état précisément et strictement des postes de dépenses choisies au détriment d'autres par les socialistes. Il est d'ailleurs à noter que l'ensemble des chiffres utilisés pour la rédaction de ce livre noir est issu des budgets officiels des conseils régionaux.
 
Roger Karoutchi dénonce également les dérives des Présidents de région socialistes qui  engagent des actions régionales de financement, notamment à l'étranger, ne correspondant pas aux besoins de la région.

Les groupes politiques doivent débattre de la définition plus précise des attributions entre l'état et les régions pour obtenir des synergies plutôt que des conflits d'intérêts. Un accord devrait être trouvé avant les élections régionales
L'opinion de l'UMP sur la gestion socialiste ne peut pas être favorable aux socialistes, c'est l'évidence, mais quand les chiffres utilisés sont ceux approuvés par les présidents de région eux-mêmes il y a matière à réflexion.

Les français ont maintenu leur préférences aux socialistes et à leurs subventions. Vision à court terme s'il en est, "après nous le déluge disait la favorite de Louis VX"



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