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Au Président des français

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Affaire Guy Georges

En 1998 Arrestation du «tueur de l'Est parisien», Guy Georges, pour le viol et le meurtre de sept jeunes femmes

Guy Georges, 38 ans  est jugé à Paris en 2001 pour 7 meurtres commis avec une extrême barbarie.

 

«La répression pénale doit aussi intégrer la dimension psychologique et médicale du problème», déclare  Elisabeth Guigou ministre de la Justice de Jospin et qui fait  voter le 17 juin 1998 la loi sur la «prévention et la répression des infractions sexuelles».

 

Le texte instaure le «suivi socio-judiciaire», qui a pour but principal de soigner les assassins à leur sortie de prison mais dont les résultas se révellent à l'usage peu efficaces. Le parti pris des juges et des psychiatres est de s'occuper à traiter du mieux possible leur "client" sans trop se préocuper des risques de récidive.

 

Les psychiatres qui s'occupent de tueurs devraient avoir reçut une formation spécifique destinée à soigner leur patien mais aussi à prévenir les récidives. De plus le juge qui remet en liberté devrait avoir à rendre compte de ses décisions.

 

Le meurtrier, un cas pathétique qui aurait du être pris en charge :

Fils d'un soldat afro-américain de passage, Guy Georges Rampillon est rapidement abandonné par sa mère et est confié à la DDASS. Très vite, son caractère violent et agressif apparaît. À 14 ans, il tente ainsi d'étrangler une de ses sœurs adoptives, Roselyne, handicapée mentale. À 16 ans, il récidive en agressant Christiane, une autre de ses sœurs adoptives. Il semble avoir agi par pulsion. Inquiète pour ses autres filles, Mme Morin sa mère adoptive obtient son renvoi dans un foyer spécialisé.


Le cas du jeune homme ne s'améliore pas. En 1979, il agresse la jeune Pascale, après une tentative de racket, il tente de l'étrangler. Arrêté il est relâché une semaine plus tard. Rejeté par sa famille d'accueil, il déprime et se met à boire. Un an plus tard, il rechute et agresse en mai 1980 Jocelyne puis Roselyne. Arrêté de nouveau, il purge alors un an de prison.


À Paris, Georges vole et se prostitue pour vivre. En novembre 1981 il viol et poignarde Nathalie et la laisse pour morte. Il agresse Violette de la même manière. La jeune femme parvient à s'enfuir. Repris par la police quelques jours plus tard. Il est condamné à 18 mois de prison qu'il purge partiellement.  A l'occasion d'une permission de sortie pour bonne conduite, il agresse Pascale, la poignarde mais elle parvient à s'échapper. La police l'arrête le soir même. Son avocat obtient une peine de 10 ans d'emprisonnement au lieu des 15 requis.


(Il n'avait encore tué personne mais cette série d'attaques violentes avec intention de tuer et son passé auraient du alerter sur sa dangerosité en liberté)


Bénéficiant d'un régime de semi-liberté (?), il en profite pour s'enfuire à Paris. En 1991, il suit Pascale Escarfail, la viole et la tue de 3 coups de couteau à la gorge. Une semaine plus tard, il rentre comme si de rien n'était à la prison de Caen. Aucune question ne lui est posée sur sa "virée" parisienne et Il est libéré le 4 avril 1992.

 

18 jours après sa sortie de prison il agresse Eléonore mais une fois de plus sa victime s'échappe. Arrêté. Il est condamné à cinq ans de prison dont deux fermes. (Seulement 2 ans fermes ! alors que cette récidive peut aprèsd sa sortie de prison aurait du donner l'alerte. Que faut-il pour que la justice nous protège ? mais veut-elle seulement niou sprotéger ou simplement juger ?)


Ressorti en 1993, il récidive et assassine Catherine Rocher après l'avoir violée. Six jours après il agresse Annie. En 1994  il assassine Elsa Benady. Un mois plus tard Agnès Nijkamp. Six mois plus tard, Elisabeth Ã©chappe de peu au tueur de l'Est parisien. Hélène Frinking, est violée et tuée dans son appartement en juillet 1995. Les enquêteurs piétinent.

 

En 1997 il viole et tue Magali Sirotti puis agresse Leila. Estelle Magd est retrouvée à son domicile, violée et égorgée le 16 novembre 1997. Ce sera sa dernière victime du tueur que l'on surnomma également "La bête de la Bastille". 

 

Lors de son procès en mars 2001, il commence par nier tous les meurtres, puis finit par avouer lorsqu'il se trouve confronté à la rescapée Elisabeth Ortega. Il est condamné à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une période de sûreté de 22 ans.

 

1997 + 22 il resortira donc en 2019. Mais l'histoir ne s'arrête pas là, elle a un happy end !

Depuis son incarcération, Guy Georges fascine de nombreuses jeunes femmes avec qui il échange de nombreux courriers. Une étudiante en droit sans histoires ira le voir régulièrement au parloir puis ils décideront d'avoir un enfant et de se marier.

 

Comme dans les contes de fées, ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants. Certaines femmes resteront éternellement un mystère.


 

Source Wikipédia l'encyclopédie libre Guy Georges le tueur de l'est parisien

 

 

Les sept victimes

Pascale Escarfail

Catherine Rocher

Elsa Benady

Agnès Nijkamp

Hélène Frinking

Magali Sirotti

 

 

 

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