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Jacques Chirac

Jacques Chirac, 50 ans de la vie politique française. Résumé biographique.     Page 11, Suite page 12

Chapitre onze : référendum sur la constitution Européenne

 
Le référendum de 2005

L'échec du référendum sur le traité constitutionnel, au printemps 2005, sera un cataclysme qui plombera la fin de mandat de Jacques Chirac. Le fin politique qu’était jacques Chirac n’aura pas vu que ce référendum était une occasion trop belle pour l’opposition qui préférait « foutre en l’air » l’Europe et notre avenir plutôt que rater une occasion si belle de le faire chier. L’excuse fut de dire qu’ils n’étaient pas contre l’Europe mais contre son opacité et contre la lourdeur de cette constitution. Cet échec imprévisible fut l’occasion pour les chefs politiques européens de mesurer le fossé entre les intérêts de faire l’Europe et sa perception par les simples citoyens.

 

   

 


 Premier ministre depuis 2005, Villepin restera longtemps un espoir des chiraquiens face à Nicolas Sarkozy, mais sera stoppé par le CPE : Contrat Première Embauche et par l'affaire Clearstream en 2006, affaire embrouillée ou des personnes ont essayé de salir le nom de Nicolas Sarkozy et n'y sont pas arrivées. Face à la montée de Nicolas Sarkozy, Jacques Chirac fera intervenir tous ses fidèles, dont l'ultra gaulliste et chiraquienne Michèle Alliot-Marie, un temps candidate à la présidentielle. Mais Nicolas Sarkozy avait travaillé dÂ’arrache pied pour obtenir les suffrages du RPR et présentait lÂ’ouverture avec une droite qui nÂ’avait plus honte d’être la droite et qui se permettait dÂ’appeler les choses et les gens par leur nom. Sarkozy répondait à la pauvre femme terrorisée par la racaille de son quartier quÂ’il allait la débarrasser de cette racaille. En disant cela il ne visait pas les millions dÂ’immigrés installées en France et pour la grande majorité souhaitant vivre en paix, mais ces groupuscules de voyous faisant chier tout le monde et se comportant comme des sauvages et même des barbares ignorant tout de la civilisation. Caillassant les voitures de pompiers venant éteindre les incendies, allant jusqu’à racketter les médecins de nuit du Samu et les dépouiller de leurs médicaments de première urgence au mépris de la vie de ceux qui les appellent. Ou encore brûler des bus en essayant de bloquer les passagers à lÂ’intérieur. Que la gauche prenne encore la défense de ces pourris en essayant de les confondre avec « les jeunes » quelle honte.

 

"Notre maison brule"


 Jacques Chirac à la tribune de l'ONU en 2004. Deux années plus tôt, en 2002, à Johannesbourg, l'une des phrases du chef de l'Etat sur le changement climatique aura marqué les esprits : "Notre maison brûle et nous regardons ailleurs". © UN Photo / Mark Garten

 

 

  

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