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Dimanche à Villepinte, malgré l'absence de son ami D. de Villepin... le Président Nicolas Sarkozy a créé l'évènement en s'intéressant de près à l'avenir de l'Europe dont dépend en grande partie évidement l'avenir de la France. Il a bien compris que l'exaspération des peuples européens à atteinte une limite extrême (le mot est juste!). Dans tous les pays de plus en plus de gens veulent quitter cette Europe du chômage, des délocalisations de l'arrivée massive de travailleurs prenant les quelques emplois disponibles à vil prix ou se retrouvant rapidement assistés aux frais d'une société de plus en plus endettée au point que l'euro vacille dangereusement. Tout le monde a bien compris la fragilité de l'euro et l'évidence que personne ne veut prêter de l'argent à des pays qui seront très probablement incapables de rembourser. Avec le temps des économies il faut trouver le moyen de relancer l'activité et l'emploi. Nicolas Sarkozy : L’Europe a tout à perdre à force de lui attribuer tous les maux de la situation économique. Hors il faut sauver l'Europe, c'est notre avenir et celui de la civilisation européenne. La crise n’est pas le résultat de la construction européenne, elle est la conséquence d’une politique européenne pas suffisamment ambitieuse au niveau institutionnel, trop timide pour préparer véritablement un fédéralisme efficace et pragmatique. La crise est devenue une crise de l’euro à cause d’une politique européenne dissonante, et c’est vers l’harmonisation des politiques économiques des Etats qu’il faut tendre, renforcer l’Europe plutôt que l’affaiblir. "L’Europe ne doit pas être une menace, mais une protection." (On voit bien chaque jour la faiblesse et la médiocrité des décisions européennes qui s'obstinent à ouvrir l'Europe à tous les vents même en période de tempête et d'ouragans jusqu'à la détruire. A période de crise, décisions de crise. Ne pas se laisser marcher sur les pieds par nos concurrents, qui nous imposent des clauses commerciales qu'eux-mêmes ne respectent pas. La réciprocité au minimum est de mise. Contrairement à un député Autrichien qui agitait son passeport et demandait s'il devrait l'utiliser pour aller à Strasbourg il faut savoir que la libre circulation des européens dans l'Europe de Schengen n'est pas remise en cause, que c'est même la condition pour qu'elle puisse subsister )
"Toute ma vie j’ai cru en l’Europe. J’ai voté pour l’Europe. J’ai défendu l’Europe. Rien ni personne ne me fera être parjure à mon idéal européen. Ce que les hommes ont construit avec l’Europe est sans doute ce qu’il y a de plus beau, de plus noble, de plus juste au service de la paix et de la réconciliation qui ait jamais été inventé." "[Il faut] sauver l’euro et sauver l’Europe" pour venir à bout de la crise, et non pas s’enfermer politiquement et économiquement comme le préconisent les extrêmes. (L'antisarkozisme additionné d'idéologie immigrationiste peut faire écrire des choses curieuses : reconnaitre à chaque ligne que ce qu'il dit est vrai et conclure que c'est mauvais ? Bref…) Nicolas Sarkozy : Le "Buy European Act" sur le modèle du "Buy American Act", c'est imposer aux marchés publics de ne passer commande qu'à des entreprises produisant sur le territoire européen comme le font les Etats-Unis. (Il faut vraiment que les constructeurs de l'Europe aient été manipulés ou soudoyés (allez-savoir ?) par les américains (et des anglais peut-être dont De gaulle se méfiait tant (?) pour ne pas avoir incorporé cette règle d'entrée de jeu dans les règles du commerce européen ni exigé la réciprocité dans tous les domaines de l'économie laissant ainsi l'Europe se faire piller allègrement. )
Le protectionnisme n’est pas une aberration au niveau européen, c’est-à -dire à un niveau suffisamment fort pour s’imposer comme une puissance unie face aux Etats-Unis et à la Chine. (Ça fait plaisir de l'entendre dire, mais si l'Europe refuse, que faire ? C'est ce que préconise Marine Le Pen pour la France. Ce n'est pas applicable pour une France isolée mais tout à fait applicable à l'Europe entière vu sa taille. Ceux qui ont lu le programme de Marine Le Pen savent d'ailleurs qu'elle-même rejette le "splendide isolement" et passera des accords avec les pays européens mais les média ne peuvent pas vous le dire, ce serait reconnaitre sa très grande intelligence)
Nous reprenons une parti seulement de la conclusion en retirant les nombreuses réserves que nous comprenons mais qui alourdissent le texte. N'en déduisez donc pas que l'auteur est d'accord avec tout ce que dit Sarkozy mais néanmoins sur certains points oui et nous insistons sur ceux que nous partageons. Vous pouvez facilement lire l'original en allant sur le lien ci-joint :
Par Florence Gabay Vice-présidente de l'IRSE paru dans les plus du nouvel Obs Nous félicitons Florence Gabay pour l'objectivité remarquable de son article. Nous espérons qu'elle nous pardonnera les quelques petites critiques placées par ci par là . La critique est aisée mais l'art est difficile
Au Président des français
...
Le programme Européen de Nicolas Sarkozy
Protéger les européens, enfin !
Extraits d'un article paru dans le nouvel obs (insoupçonnable de favoritismes pour Sarko !)
Une Europe sous les auspices de Schuman et de Monnet
Pareillement l'immigration qui est une force en période de croissance est un boulet en période de crise. De plus l'Europe n'arrive plus à assimiler les nouveaux arrivants qui soufrent du chômage qui de plus touchera en priorité leurs propres enfants, ils s'enferment dans le communautarisme, refusent la culture européenne, et exacerbent les peuples européens. Ne pas y voir une poudrière est criminel. Il faut d'urgence réformer les accords de Schengen pour réguler raisonnablement l'entrée des étrangers sur le territoire européen.Nicolas Sarkozy a précisé :
Le nouvel Obs : " Qu’il faille maîtriser les flux migratoires intra et extra-européens, cela est une évidence – et l’importance d’une politique d’immigration communautaire ferme s’impose. Cependant, mettre en danger Schengen sur le prétexte que l’immigration illégale d’un pays se communique à un autre (ce qui est d’ailleurs vrai) n’est pas fécond." ("Pourquoi ce que les États-Unis, pays le plus libéral du monde, s'autorisent, l'Europe se l'interdirait ?")
je salue le choix du candidat d’avoir inscrit son discours de campagne l’horizon européen. C’est sans doute la vertu majeure de ce discours, indépendamment des positions qu’il assume : susciter une discussion européenne qui manquait cruellement à cette campagne,