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Au Président des français

" Dubito ergo cogito , cogito ergo sum " je doute donc je pense , je pense donc je suis : Descartes

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Appel au renouveau de l'Education Nationale

 

Le collège unique


 L'obsession de l'égalité à conduit l'éducation nationale à la plus grande erreur qu'on puisse imaginer en matière d'enseignement : l'égalité des cerveaux.

Personne ne conteste qu'il y ait des gens qui sont grands d'autres petits, d'autres gros ou maigre, etc. Ces distinctions physiques sont évidentes et au cours de gymnastique il ne viendra jamais à l'idée du prof de vouloir faire sauter aussi haut que les plus grands les plus petits ni de faire courir le cent mètre par les gros aussi vite que par les plus minces et musclés.

Les sportifs choisissent toujours la discipline où ils excellent et les séances d'entrainement sont toujours adaptées à leur morphologie et à leurs capacités.

Et bien en matière intellectuelle l'éducation nationale veut tout raboter au même niveau avec une inconscience affligeante de naïveté.

Peut-être rêve t'elle du lit de Procuste qui d'après la légende étendait les voyageurs qu'il capturait sur son lit et leur coupait les jambes si celle-ci dépassaient ou les étiraient s'ils étaient trop court. Vous imaginez le résultat ? Et bien c'est ce qui arrive à l'école et évidement les plus défavorisés pour lesquels cette technique est soi disant destinée en sont les premières victimes.

 

Au nom de l’égalité les pédagogues de l'éducation nationale  veulent traiter égalitairement des enfants qui se trouvent en grande inégalité entre eux pour des raisons multiples qui échappent aux décisions humaines telles qu'un chromosome en plus, une case en moins, des parents cultivés ou non, un environnement bénéfique ou hostile etc.

Bien évidement face à ces inégalités il faut adapter des comportements différents pour donner les meilleures chances à chacun. 

Le sport autrefois si méprisé des intellectuels pourrait donner des leçons en ce qui concerne ses méthodes de formation et d'entrainement avec sa sélection très stricte qui permet aux meilleurs d'accéder au plus haut niveau. La sélection quand elle est bien faite est une bonne solution. Le nombre d'enfants dont les parents ne sont pas d'origine française et qui réussissent dans le sport devrait donner à réfléchir. En optimisant les méthodes d'enseignement on sort du lot les plus performants quel que soit leur origine.

Cet enseignement unique et identique pour tous est d'autant plus absurde que l'école de la république accueille de nombreux enfants d'immigrés qui ont une culture très différente de la notre, ne savent rien de l'intérêt de l'école et parfois ne parlent même pas français.

Pour ceux là il faudrait des classes d'insertion leur fournissant un enseignement de mise à niveau pour ensuite les faire bénéficier du tronc commun qui lui-même devrait être divisé en trois catégories : Les surdoués, ceux qui ont des difficultés et ceux qui suivent normalement. Des passerelles permettraient ensuite à ceux dont l'esprit s'ouvre aux connaissances de changer de fillière.

Extrait d'un article d'Olivier Vial :
LÂ’enquête PISA réalisée par lÂ’OCDE auprès d’élèves de 15 ans, pour lÂ’année 2009 donne des chiffres éloquents. En compréhension de l’écrit, par exemple, l’écart de résultat entre les élèves nés en France de parents français et ceux nés de parents étrangers est de 60 points. Ce qui  signifie que les élèves issus de lÂ’immigration ont accumulé en moyenne un an et demi de retard par rapport aux autres élèves.

La situation s’améliore un peu pour les élèves de la deuxième génération. A la réplique " Les différences de résultats entre les immigrés et les Français résultent des différences sociales" la réponse est non car l'enquête corrige les variations socio économiques entre élèves.

Certains auteurs pointent des facteurs comme les difficultés de maîtrise de la langue, l’implication moins forte des familles, l’opposition dans certains cas entre la "culture enseignée à l’école" et celle transmise au sein de la cellule familiale.

Ces remarques sont frappées au coin du bon sens, mais bon sens et idéologie ne font pas bon ménage.


Source : http://ceru.fr/spip.php?article1

 

 

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La rechercher de nouvelles méthodes pédagogiques est fondamentale.

 

Néanmoins il est criminel et même diabolique (1) de s'obstiner à imposer celles qui ne fonctionnent pas !

 

(1) L'erreur est humaine, persévérer est diabolique ! Yous les professeirs de latin le savent ils peuvent même vous le dire en latin, dèjà les romainns le savaient il y a plus de 2000 ans.

 

 

 

 

 

A suivre...

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