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Février 2009 Les banques Chapitre 1 : La crise des subprime Ne croyez pas qu’elles étaient devenues philanthropes, elles avaient bien hypothéqué les maisons et comptaient simplement sur la hausse continue de l’immobilier pour en cas de non règlement du crédit se rembourser à l’aise. Mais les arbres ne montent pas jusqu’au ciel, tous les investisseurs en bourse devraient le savoir. Les gens n’ont pas pu rembourser et avec la chute de l’immobilier leurs maisons sont devenues invendables. Les banquiers ont été punis. Pourquoi une catastrophe planétaire ? Les banquiers plus finauds qu’il n’y parait ont réagit promptement quand ils ont vu que les choses allaient mal tourner. Avec les spécialistes de wall street ils ont créé des titres à partir des crédits qu’ils savaient à haut risque. Pour faire passer la pilule ils les ont assorti d’une assurance pour les risques d’impayés et avec cette assurance ils ont obtenu des sociétés de notation des titres en bourse des notes excellente sur la sécurité de leu produit. Il y a probablement eut magouilles entre les dirigeants pour que des sociétés d’assurance assurent ces actifs toxiques et pour que les agences de notation mettent des bonnes notes. Bref, ils ont vendu ces titres au monde entier, enfin surtout à des banques européennes. Les gouvernement ont du contraints et forcé intervenir, et ce sont nos impôts qui servent à renflouer les banques. En reverrons nous la couleur ?
Au Président des français
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La soif de croissance des états-uniens a mener leurs banques à la catastrophe planétaire quand elles ont accordé pour environ 1400 milliards de $ de crédit à des gens qui ne pourraient pas rembourser.
La règle du jeu aurait été que les banques ayant acheté des produits ayant perdu toute valeur auraient du faire faillite. L’économie mondiale est tellement imbriquée avec les banques que les faillites bancaires auraient conduites à des faillites en série de pans entiers de l’économie sans compter les petits client des banques voyant leur compte chèque vidé.
Mais ce n'est pas tout ! La suite au prochain numéro...
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