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Au Président des français

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Mai 2011                   

Le retour à la croissance analysé par le journal « le monde ».

D’après le monde « Un facteur technique a fortement contribué à l’accélération de la croissance de 1 % du produit intérieur brut (PIB) au premier trimestre 2011 ».

 

Désolé c'est très technique, le but rechercher est de perdre le lecteur et de lui faire prendre des vessies pour des lanternes. Les commentaires en bleu s'efforcent à la simplicité.

 

Voici des extraits de l’article entrecoupés de commentaires en italiques et bleu pour apprendre à déchiffrer la langue de bois journalistique de gauche :

 

C’est pour une large part une consommation des ménages et un effet de traîne de la fin de la prime à la casse automobile.

Mais un autre facteur a joué : la variation des stocks des entreprises qui a contribué à 0,7 point dans le 1 % de hausse du PIB.

“Il suffit que les entreprises ralentissent leur déstockage d’un trimestre à l’autre pour que cela se traduise par un effet positif sur la croissance et c’est ce qui s’est passé”, explique Mathieu Plane de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).

 

(Un stock qui baisse moins vite que les ventes ou qui remonte est la preuve que lÂ’entreprise achète ou produit plus quÂ’elle ne vend créant ainsi plus dÂ’activité.  Il existe une loi pour calculer la quantité économique de commande qui permet dÂ’ajuster le stock au plus près de sa valeur économique idéale. Trop de stock coûte cher mais une rupture de stock fait perdre des ventes et réduit la satisfaction des clients.  Si les entreprises reconstituent leur stocks cÂ’est forcément bon signe. Les économistes de lÂ’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) connaisent-ils seulement ces règles de base de l'économie ?)

 

“les entreprises reconstituent leurs stocks car elles anticipent des perspectives de débouchés et des carnets de commandes qui se remplissent” indique-t-on au sein du gouvernement .

  

“CÂ’est une reprise avant tout technique”, renchérit M. Plane. “On lÂ’attendait, (mon oeil, visiblement ça te fait chier !) car cÂ’est un phénomène classique dans toute période de reprise de lÂ’activité. Mais il est difficile de dire si... (blablabla !)”.


Ce phénomène de ralentissement du déstockage nÂ’est, en tout cas, pas forcément pérenne. Il pourrait ne pas jouer aussi fortement durant les autres trimestres cette année. (Bon voilà du baratin destiné à noyer le poisson. Il existe toujours la possibilité dÂ’un retournement de tendance, bien sûr, d'une nouvelle crise. Notre économiste distingué pourra ainsi déclarer  Â« je lÂ’avais bien dit ».)

 

“Il annonce normalement une reprise plus durable”, souligne toutefois M. Plane, avec “de la production supplémentaire”.

 

(Tiens prudent notre économiste, comme Tarik Ramadan sait pratiquer le double langage. Il termine sa phrase en disant le contraire de ce qu’il disait au début. Ainsi il aura toujours raison )

 

 

La production manufacturière a progressé de 3,4 % au premier trimestre. Même si les chiffres du premier trimestre sÂ’améliorent, il ne préfigure pas le reste de lÂ’année... la consommation des ménages pourrait ne pas continuer à croître aussi fortement.

 

(Qu’est-ce que je vous disais ! Un retournement de tendance ou n’importe quoi peut toujours se produire et à la grande joie des journalistes. Le pire est toujours possible même et surtout quand tout va bien)

 

L'Insee évoque une baisse de - 0,1 % de la consommation au deuxième trimestre. (cette baisse terrible de 0,1% ce ne serait pas la fin du monde par hasard ? Zéro virgule un pour cent !)

 

La consommation ... pourrait aussi être impactée par l’évolution d’un pouvoir d’achat qui “n’est pas très dynamique”, relève Mathieu Plane.

Les gains de pouvoir d’achat resteront “très faibles”, appuie l'Insee, avançant les chiffres de +0,1 % puis +0,3 % aux premier et deuxième trimestres.

 

(Comment ça ? des gains de pouvoir dÂ’achat ? je croyais que depuis 2007 le pouvoir des chats heu pardon! le pouvoir d'achat nÂ’avait cessé de reculé dÂ’après les médias et les micros-trottoirs. On nous aurait menti ? )

 

Le ralentissement à venir de la consommation, voire sa baisse, (Quels sont les éléments qui permettent de prédire un ralentissement ou une baisse ? L'augmentation (trp faible) du pouvoir d'achat ? LÂ’optimisme des entreprises qui reconstituent leurs stocks ? Traduisons celà en langage météo : La position de lÂ’anticyclone qui permet de prévoir une journée ensoleillée sur toute la France nous fait craindre en cas de retournement imprévisible de fortes pluies.) ... 

 

devrait se traduire dans les chiffres de croissance de lÂ’ensemble de l’économie. (Belle phrase sÂ’il en est : quoi quÂ’il arrive ça se traduira évidement dans les chiffres de croissance, en plus ou en moins. Vous êtes content ? Cela ne nous apprend rien, 'est de la langue de bois à l'état pur.)

 

Selon la plupart des économistes, le chiffre de 1 % au premier trimestre conforte l’objectif d’une croissance de 2 % sur l’année du gouvernement.

 

(Merde alors la plupart des économistes pensent que le gouvernement nÂ’est pas en train de se gourer, cÂ’est con ça, cÂ’est mauvais pour le moral du clan des éternels insatisfaits.  Pourtant avec 1% de croissance engrangé en 3 mois il ne reste plus qu'à progresser de 0,33% pour les 3 autres trimestres.)

 

Source : le monde

 

 

Quelques commentaires acerbes de lecteurs, ils ne semblent pas beaucoup aimer leur journal !

 

Ces commentairees ont été pour la plupart raccourcis et remis en forme, le fond en a été préservé dans ses grandes lignes

 

Je suis toujours sidéré des interprétations “poudre aux yeux” que multiplient les économistes …

L’économie traite dÂ’objets réels, on nÂ’est pas dans la théorie, des stocks négatifs ne peuvent exister, on ne peut pas déstocker quelque chose qui nÂ’existe pas !

Quand les entreprises ont ralenti leur activité et déstocké pendant deux ans, le fait qu’elles se remettent à stocker est un signe positif ne vous en déplaise.

La constitution d’un stock c’est une usine qui donne du travail à ses employés, les paient, qui commande à ses fournisseurs, c’est de l’argent qui circule et qui permet de croitre. Monsieur de La Palisse qui n’était pas économistes aurait pu vous l’expliquer.

 

« Voilà comment on entretient savamment la sinistrose. Les chiffres sont bons ? Ça ne va pas durer ! Restez déprimé, tout va pour le pire et le restera. L’économie se gagne surtout par le moral ».  

 

Pour nos élites économico-intellectuelles de gauche sous la président de Nicolas Sarkozy leur seul but est de faire perdre la France. S'ils s'imaginent que pour autant nous voterons pour eux, ces fossoyeurs de notre avenir, ils se gourrent profondément.

 

 

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