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Février 2009    

 

Les banques

Chapitre 2 : la spéculation boursière 


Les banques achètent et vendent des action en bourse, c’est très bien, mais de plus elles spéculent sur les marchés financier qui fluctuent de façon de plus en plus fantastique (du fait de l’engouement des banques entre autre) jusqu’à atteindre des comportement de folie (psychologie des foules avec phénomènes d’euphorie ou de panique amplifiés à l’extrême.

 

Pendant des années la spéculation à été positive et pourtant à chaque gagnant il faut bien un perdant, et la somme des gains est obligatoirement égale à la somme des pertes dans ce casino géant. Les pertes étaient masquées par une hausse continue, comme l’immobilier en somme. Mais un vieux proverbe boursier dit que les arbres ne montent pas jusqu’au ciel. Avec la crise des subprimes et des besoins de liquidité les banques se sont mises à vendre, et les cours de bourse se sont effondrés. Ils sont maintenant au plus bas.

 
Si vous avez des économies et du temps devant vous, un conseil, achetez des actions, mais sachez que vous ne devez engager que de lÂ’argent dont vous nÂ’aurez pas besoin afin de pouvoir attendre le temps nécessaire à une remonté des cours :  2, 3 ans ou plus ?


Bref avec une bourse en folie les banques qui spéculent risquent à tout moment de faire faillite. En ce moment elles ont largement aggravé leurs pertes. Kerviel et les 5 milliards perdus par la Société Générale début 2008 ne sont pas des cas uniques.

 

Et toujours l’impossibilité de laisser les mauvais faires faillite sans anéantir l’économie d’un pays.

 

L’adage « les marchés ont toujours raison » en prend un grand coup dans l’aile. En réalité il y a confusion entre la raison telle la raison du plus fort et la raison au sens de raisonnable.

 

Le prix de vente ou d’achat d’actions sera toujours fixé par le marché, et dans ce sens il a toujours raison comme un tyran à toujours raison, il a le dernier mot. Cette raison ou ce dernier mot sont-ils raisonnables ? Pas forcément, toute l’incompréhension vient de là.

 

Alors faut-il laisser faire les marchés ? Non, il faut les encadrer dans les limites de la raison pour les empêcher de devenir fous comme en ce moment.

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